• Défis du développement durable

  • Commentaires

    1
    Mercredi 18 Novembre 2015 à 18:04

    hello bonjour

    je vous propose un petit calcul : calculez toute l'énergie mise en jeu par les activités humaines et comparez-la à l'énergie du soleil et  des volcans.ou de la tectonique.

    Vous vous apercevrez je pense que les activités humaines sont négligeables en matière d'énergie ou de pollution atmosphérique. Ce qui ne veut pas dire qu'il faut rendre les villes invivables mais certaines villes sont peut-être simplement trop peuplées.

    C'est le changement d'activité du soleil ainsi que les volcans qui sont les principaux responsables du léger changement climatique actuel et cela c'est produit bien des fois dans l'histoire de la terre avec une amplitude bien supérieure.

    Ce n'est qu'une opinion

    d' un simple scientifique.

    Jo

      • Jean-Jacques
        Mercredi 18 Novembre 2015 à 23:03

        Tiens, un négationniste ! Ca existe encore...

        Nul n'est plus sourd que celui qui ne veut pas entendre.

      • Jeudi 19 Novembre 2015 à 08:01

        La pensée unique c'est du totalitarisme

        Vous n'avez pas las science infuse.

        Le vocabulaire que vous  employez est  assez révélateur .

        Jo

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    2
    Mercredi 18 Novembre 2015 à 23:34

    L'énergie n'est pas le problème. Le problème est l'énergie captive du fait de l'effet de serre.

     

      • Jeudi 19 Novembre 2015 à 08:08

        Hello bonjour

        S'il n'y avait pas d'effet de serre nous serions probablement dans une période glaciaire.

        Heureusement il y a l'effet de serre.

        Jo

        Toujours la pensée unique qui rend toute discussion vaine

        rassurez-vous, je ne reviendrez plus sur ce blog vous pourrez discuter entre convaincus.

    3
    Jeudi 19 Novembre 2015 à 10:39

    les périodes glaciaires sont parfaitement prévisibles grâce aux carottages des glaces au pole Sud. Il y a un maximum tous les 100000 ans et nous sommes précisément à un maximum, auquel s'ajoute l'effet de serre. La température redescendra donc... dans mille ou deux mille ans, mais d'ici là, il y aura eu les dégâts de l'effet de serre. Tout cela est bien connu des scientifiques.

    Quand on n'est pas d'accord, il n'est pas pertinent d'accuser les contradicteurs de "pensée unique". De toutes façons, la science impose en effet sa pensée, ou plutôt ses démonstrations.

    4
    Pierre M.
    Samedi 5 Décembre 2015 à 00:26

    Négationnisme, pensée unique, totalitarisme… On se croirait dans un débat politique. Mais non c'est de science qu'il s'agit ! On pourrait s'offusquer de constater que des scientifiques ou  des personnes de bonne formation scientifique s'écharpent ainsi sur le blog. Ce serait oublier que fréquemment les débats "scientifiques" sont très violents. Mais cette violence cache souvent des conflits d'intérêt, voire d'ego, et a même fait rage entre de grands esprits : comme ce fut le cas entre Newton et Leibnitz à propos notamment de la paternité du calcul différentiel.

     

    Ce n'est pas le cas ici : il s'agit en fait d'opinion et non de science. Bien malin et bien savant celui qui peut affirmer en toute certitude le caractère anthropique du réchauffement climatique. Même le plus savant d'entre nous ne peut que faire confiance à ce que de plus savants que lui proclament. Or ces "plus savants" sont eux-mêmes divisés. Sauf à imaginer que ceux qui tiennent un discours contraire à la doctrine scientifique dominante sont des malhonnêtes, des vendus à je ne sais quels intérêts, des jaloux ou des nuls, il est bien difficile de se faire une opinion en toute objectivité. Sur cette question (comme sur la question des OGM par exemple), la vérité si elle existe ne se décide pas à la majorité des opinions.

     

    Opinion, voilà le grand, le gros mot. De grands esprits comme Gaston Bachelard ("La formation de l'esprit scientifique") ou Alfred Sauvy ("L'opinion publique") ont montré que la logique de la science et celle de l'opinion étaient totalement opposées. Relisons A. S. à propos de l'opinion : elle "part de la conclusion et remonte aux faits “nécessaires”. Il ne lui reste plus qu'à prouver que les faits sont bien ainsi, ce qui est toujours possible, par une sélection appropriée de nouvelles". C'est bien là le mode de fonctionnement de la plupart des climatistes et de leurs adversaires les climatosceptiques.

    Pour le béotien que je suis, je dois reconnaître qu'il y a actuellement une multiplication d'indices qui tendraient à donner raison aux premiers. Mais je ne suis pas expert et de toute façon ce qu'est ou n'est pas mon opinion n'a aucun intérêt. D'ailleurs les certitudes scientifiques sont évanescentes : soumis à l'épreuve des faits un paradigme chasse l'autre.

     

    Est-ce une raison pour faire la politique de l'autruche ? Pour ne pas agir ? Certainement pas. On peut évoquer le pari de Pascal, le contestable principe de précaution, ou – plus sérieusement – le "catastrophisme éclairé" (Jean-Pierre Dupuy), le doute ne doit pas se traduire par le laisser aller ou le refus d'agir. Bien sûr les fameux seuils de 2°C, 4°C… ont un caractère un peu magique (pourquoi pas 1,9 ou 2,1 ?) : cela semble aussi peu sérieux que les fameux critères de Maëstricht. Il n'empêche qu'il est indubitable que pour des systèmes aussi complexes de le système climatique, il y a nécessairement un seuil à partir duquel tout devient imprévisible, non maîtrisable, explosif, chaotique pour tout dire (le fameux chaos déterministe).

     

    Quant à vouloir "sauver la planète" comme le répètent  à l'envi la plupart des médias, il ne faut pas exagérer : la planète n'a pas besoin de nous pour se sauver elle-même. Elle "se sauvera" certainement sans nous (elle en a connu d'autres), mais dans des conditions telles que ce sera vraiment sans nous, en se débarrassant de l'espèce humaine. Ne peut-on pas discuter sereinement de cela s'en s'invectiver ?

                                                                                   

    5
    Samedi 5 Décembre 2015 à 15:19

    Pas du tout, les "savants" ne sont pas divisés. Ils regardent la courbe de température monter, monter, monter, et cela les inquiète. La terre  n'a jamais été aussi chaude.

    C'est vrai qu'il y a quelques avis contraires, émanant notamment de philosophes(!) comme Luc Ferry, et par des "savants" d'autre spécialité que la climatologie, comme Allègre et  ses copains, qui n'hésitent pas à écrire n'importe quoi (par exemple: "le "Groenland autrefois, comme son nom l'indique, était vert", ou encore"ne vous en faites pas, il fera meilleur à Paris") et, pour démontrer leur propos, à truquer les courbes prévisionnelles produites par des spécialistes (pour des "savants", c'est le pompon): de ce fait ils sont discrédités. Parmi les climatosceptiques on trouve aussi les Républicains des USA.

    On peut néanmoins avoir un consensus minimum: la courbe des températures est super inquiétante, et si elle continue comme cela cinquante ans, les conséquences sont imprévisibles, et vraisemblablement dramatiques pour une partie de l'humanité, par exemple les Bengalais, qui grossiront le flot des réfugiés.

    Pour ma part, je ne suis pas climatosceptique, mais je me refuse à être climatopessimiste. On peut s'en sortir, mais il est grand temps d'agir.

      • Pierre M.
        Dimanche 6 Décembre 2015 à 00:17

        Pas divisés les "savants" ? Une telle affirmation m'étonne de toi qui connais bien le milieu de la recherche. Comme si tu n'avais jamais siégé dans un jury de concours. Comme si tu ne suivais pas, au moins par médias interposés, les débats, pas toujours à fleurets mouchetés, qui divisent les membres de l'Académie des Sciences : Claude Allègre et Vincent Courtillot y sont minoritaires sur le dossier du climat, mais ils ne sont pas seuls. Et ce n'est pas le seul sujet de frictions. Dans d'autres Académies que je connais un peu mieux, je peux t'assurer qu'il est souvent difficile d'obtenir le consensus sur  des sujets touchant par exemple les OGM, l'alimentation humaine, l'expérimentation animale ou l'utilisation d'intrants issus de la chimie, etc. 

        Il y a deux niveaux où les divergences peuvent se manifester : l'observation des faits et leur interprétation. En général (mais pas toujours) il peut y avoir consensus sur le premier point. Pas toujours car il peut y avoir divergence sur la conception des protocoles expérimentaux. Ce n'est pas si rare que cela. Mais c'est surtout au niveau de l'interprétation qu'on trouve le plus de divergences. Pour l'anecdote, à propos du réchauffement climatique, un ami dont la spécialité était l'hydraulique et l'hydrologie, a tenté de m'expliquer qu'en certains lieux de la planète, ce n'était pas la mer qui montait mais le continent qui s'enfonçait en raison de phénomènes tectoniques (exemple de Venise). Je ne suis pas sûr d'avoir tout compris.

        Mon incompétence me permet peut-être de me faire une opinion (je serais plutôt d'accord avec toi), mais ne me donne pas le droit de tenter de la faire partager.

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